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Lettre janvier 2012
samedi 28 janvier 2012
dimanche 1 janvier 2012
La vie très privée de Mr Sim
de Jonathan Coe
La vie de Maxwell Sim 48 ans est d'une banalité à pleurer. Complètement malmené par la vie depuis sa naissance, la nullité de sa vie le poursuit jusqu'à l'âge adulte.
Largué par sa femme et sa fille, en pleine phase dépressive, une opportunité de travail va l’amener à traverser le Royaume-uni jusqu'aux îles Shetlands en voiture.
Totalement esseulé, il finira par tomber amoureux de la seule présence qu'il lui reste, à savoir la voix féminine de son GPS.
Tout le livre repose sur une rencontre au début du roman. Celle d'une femme et de sa fille qui partagent un moment d'intimité et de joie partagé.
Scène de vie que le protagoniste verra comme un Symbole, un emblème de ce qu'il doit chercher.
Jonathan Coe comme à son habitude nous mène par le bout du nez et le lecteur sera bien étonné de la tournure que prendra la fin de ce roman.
Une belle satire de notre société ultra moderne où l'on peut avoir 100 amis "facebook" sans pour autant en avoir un seul à qui se confier. Une société où l'on peut ressentir un besoin presque vital de renouer des contacts humains avec les autres.
Quitte à passer pour un fou...
Audrey
La vie de Maxwell Sim 48 ans est d'une banalité à pleurer. Complètement malmené par la vie depuis sa naissance, la nullité de sa vie le poursuit jusqu'à l'âge adulte.
Largué par sa femme et sa fille, en pleine phase dépressive, une opportunité de travail va l’amener à traverser le Royaume-uni jusqu'aux îles Shetlands en voiture.
Totalement esseulé, il finira par tomber amoureux de la seule présence qu'il lui reste, à savoir la voix féminine de son GPS.
Tout le livre repose sur une rencontre au début du roman. Celle d'une femme et de sa fille qui partagent un moment d'intimité et de joie partagé.
Scène de vie que le protagoniste verra comme un Symbole, un emblème de ce qu'il doit chercher.
Jonathan Coe comme à son habitude nous mène par le bout du nez et le lecteur sera bien étonné de la tournure que prendra la fin de ce roman.
Une belle satire de notre société ultra moderne où l'on peut avoir 100 amis "facebook" sans pour autant en avoir un seul à qui se confier. Une société où l'on peut ressentir un besoin presque vital de renouer des contacts humains avec les autres.
Quitte à passer pour un fou...
Audrey
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